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Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois |  |
Sommaire
Livres
 extraits du livre de Louis Lambert |
 extraits du livre de Louis Lambert |
 extraits du livre de Louis Lambert |
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Louis
Lambert est
un roman d’Honoré
de Balzac,
paru en volume aux éditions Gosselin en 1832, puis en 1836, suivi de Séraphîta, chez Werdet. Il figure à la même place dans les Études philosophiques de l’édition Furne 1845 de La Comédie humaine. |
 extraits du livre de Louis Lambert |
| extraits
du livre de Louis Lambert |
Contexte[modifier | modifier le code]L’œuvre, à la fois mystique et partiellement autobiographique (Louis Lambert, comme Balzac, fait ses études chez les Oratoriens de Vendôme), est aussi une importante contribution à la description du somnambulisme magnétique tel que Balzac l’a suivi dans les recherches d’Alexis Didier1 qu’il considérait comme le plus grand clairvoyant de son temps. Le goût de Balzac pour les sciences paranormales a nourri l’imaginaire de l’auteur qui a traduit, avec le personnage de Louis Lambert, son goût pour la métaphysique. Louis Lambert (Balzac ?) a projeté de rédiger un Traité des volontés où il serait démontré à quel point les forces de l’esprit qui nous échappent peuvent influer sur le comportement physique.
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Résumé[modifier | modifier le code]Le roman, écrit à la première personne, décrit la rencontre du narrateur avec un jeune homme surdoué, étudiant au collège des Oratoriens de Vendôme grâce à la protection de madame de Staël. Absorbé par ses études personnelles, Louis reste à l’écart des autres. Il est souvent l’objet de railleries et de brimades. Parmi ses lectures, on retrouve Swedenborg, dont les théories apparaissent encore dans Séraphîta. Le jeune homme est un génie dont les professeurs ne comprennent pas la soif d’absolu, car ce génie passe pour fou auprès de tous, excepté Pauline, sa fiancée, qui prend soigneusement note de ses pensées et les réunit dans le Traité de la volonté qu’il n’a pas eu le temps d’achever. |
Cette étude, en quatre parties, est une plongée au cœur du passé du village de Ternay (canton de Montoire-sur-le-Loir).
Elle commence avec les traces des hommes préhistoriques, donc bien avant la naissance même du village. Puis celui-ci, déjà mentionné par Grégoire de Tours
au vie siècle, traversa les siècles, les régimes politiques, les conflits régionaux, nationaux, internationaux, politiques et religieux, édifiant peu à peu son identité, voire ses spécificités :
semblable à des milliers de villages de France et à nul autre pareil. Jusqu’au milieu du xxe siècle, Ternay a rassemblé une communauté constituée essentiellement de paysans, d’artisans et
de commerçants. Alors que la civilisation qu’ils avaient lentement édifiée est en train de s’effacer, il est urgent de proposer leur histoire à la mémoire collective.
Jean-Jacques Loisel
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Éléments pour une
histoire de Ternay
Par Jean-Jacques LOISEL Dans la tourmente
de deux guerres mondiales (1914-1945) |
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Éléments pour une histoire de Ternay Par Jean-Jacques LOISEL
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Troisième partie |
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Après la nuit de la guerre de Cent Ans, Ternay renaît à la lumière du « beau XVIe siècle » et de quelle manière ! Il accueille Ronsard au prieuré de Croixval. Le siècle suivant lui donne pour seigneurs de grands noms : du Plessis-Liancourt, Schomberg, du Bellay ; mais la population connaît aussi les affres de la misère, peste et autres épidémies, famine ou disette. Cependant, le poids des fléaux s’allège peu à peu, jusqu’à la décennie finale du XVIIIe siècle, qui voit l’éruption de la Révolution : le curé réfractaire du village devient le « Crapaud de nuit », les chouans font trembler les autorités patriotes… Jean-Jacques LOISEL 2_Renaissance-Revolution_autoedition |
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Janvier
1791 : Je jure d’être fidèle à la Nation, à la Loi et au Roi… |
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Chaque
prêtre séculier du Vendômois, exerçant une fonction,
fut astreint à prononcer ces quelques mots.
Certains le firent avec enthousiasme, d’autres s’y refusèrent résolument, d’autres encore ne surent à quel saint se vouer.
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L’acceptation
ou le refus du serment, sa rétractation dans les
années suivantes par nombre d’assermentés, générèrent
un bouquet dedestins diversifiés.
À ces derniers, la présente étude s’attache à donner les couleurs de l’histoire et du vécu, cherchant à les comprendre sans les juger.
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01_Texte autoéd avec icono 5-2-21LIVRE |  |
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| Si les propriétaires des documents ne peuvent assumer par eux-mêmes la rédaction et la mise en page d’un témoignage, une petite équipe, constituée au sein de la Société archéologique du Vendômois, pourra leur prêter un concours bénévole. |
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La célébration du centenaire de la
première guerre mondiale a eu d’heureux effets, en
suscitant des recherches, en multipliant les études,
donc des découvertes sur cet événement majeur de
notre histoire. Mais elle a aussi fait sortir des
tiroirs une foule de documents familiaux, lettres,
papiers divers, photos, objets…
Partant de telles données, il est possible de redonner un souffle de vie à des « Poilus », retournés à leur anonymat à l’issue du conflit ou « morts pour la France ». En transcrivant des lettres, en les associant à des photos, des dessins, c’est un visage, une sensibilité qui surgissent et animent ce qui n’était plus, souvent, qu’un prénom et un nom gravés sur la pierre ; car la plupart des « Poilus » inscrits sur les monuments aux morts sont devenus des « soldats inconnus ».C’est donc une chance à saisir que de tirer parti de ces souvenirs, avant qu’ils ne regagnent les tiroirs après la conclusion du centenaire, pour disparaître à l’occasion d’un déménagement ou d’une succession. L’objectif est de mettre en ligne sur le site de la Société archéologique du Vendômois certains destins, certains témoignages, dans une double démarche d’information historique et de préservation du contenu documentaire. Si les données concernant les militaires du Vendômois seront privilégiées, leur priorité ne sera pas exclusive.mémoire_poilus_autoéd est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons  Paternité - Pas d'Utilisation
Commerciale - Partage à l'Identique 3.0 non
transcrit |
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Une somme unique pour savoir comment les Vendômois ont été soignés depuis près d’un millénaire, comment ils ont fait face aux grands fléaux
comme les trois guerres franco-allemandes ou les épidémies de toutes sortes.
Une liaison fiévreuse entre la grande et la petite histoire.
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Pages d’histoire hospitalière et vendômoise Maison-Dieu, hôtel-Dieu, hospice, hôpital-hospice, hôpital, centre hospitalier, autant de noms qui ont recouvert, tour à tour, les activités de soins concentrées en un lieu ou plusieurs de la ville de Vendôme. Du
règne de Philippe-Auguste à l’entrée des « trente
glorieuses », des siècles de vie médicale et
hospitalière ont laissé des traces inégales dans les
archives : parfois pauvres ou fragmentées avant
la Révolution, souvent abondantes après celle-ci. Ce
volumineux travail se veut une contribution à ce qui
sera plus tard une histoire de l’hôpital de Vendôme. Et comme un tel établissement ne peut être dissocié des grandes vibrations nationales, ni des petites éruptions locales, c’est, plus largement l’histoire de la ville qui se dessine en arrière-plan. HOPITALVENDOME_AUTOEDITION est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Paternité - Pas d'Utilisation
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transcrit |
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Publication
électronique d'une étude par Jean-Jacques
Loisel
:
Il
était une fois une croix, dissimulée dans la partie
la plus sombre de l’église abbatiale de la Trinité
de Vendôme.
Elle
était si grande qu’on finissait par ne plus la voir…
Dans quatre ans, cela fera deux siècles qu’elle a
été érigée, non pas là où elle somnole, mais dans un
des espaces publics les plus symboliques de Vendôme,
parce qu’alors on la voulait visible de tous.
Cette
exposition à la lumière du jour ne dura que quelques
années et elle échappa de peu au dépeçage.
Son
histoire en dit long sur les passions, les fureurs
parfois, qui agitèrent la société française, donc
vendômoise,
dans
la première moitié du xixe siècle :
tout
en conservant au cœur sa petite part de secrets
intimes,
elle a bien voulu répondre à nos questions.
est
mis à disposition selon les termes de la licence
Creative Commons
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Publication électronique d'une étude par Jean-Jacques Loisel : La vie de sainte Radegonde, épouse du roi Clotaire Ier, nous est d’abord connue par les écrits de trois de ses contemporains et amis, la moniale Baudonivie, Venance Fortunat et Grégoire de Tours. Les recherches des érudits, puis celles des historiens de la seconde moitié du xxe siècle ont considérablement précisé les caractéristiques de la période – le vie siècle – et la personnalité de la reine-moniale. Des siècles durant, sainte
Radegonde a été l’objet d’importantes marques de
dévotion en Loir-et-Cher et en Dunois. C’est à mieux les
connaître et les comprendre que s’attache cette étude,
dressant l’inventaire des lieux et des traces de culte,
dégageant similitudes et différences. L’enquête a
rassemblé un maximum d’informations éparses, pris en
compte les traditions et témoignages recueillis et
exploité l’important fonds des Archives diocésaines de
Blois.
Sainte Radegonde
entre Loir-et-Cher de J.-J. Loisel
est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Paternité - Pas d'Utilisation
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transcrit |
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Histoire de
Foulques Nerra
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Livres en vente
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